photoafp/hang dinh nam
a lutte des bonzes contre le régime militaire birman souligne tragiquement la puissance sociale de la vie monastique dans le bouddhisme. Dès la naissance du boud-dhisme dans son berceau de l'Inde - entre les Ve et IVe siècles av. J.-C. - les premiers disciples de Bouddha Shâkyamuni ("l'Eveillé" du clan des Shakya) se rasaient la tête, s'habillaient d'une robe ocre et allaient quêter leur nourriture de maison en maison
.Bouddha a vécu quatre-vingts ans - dont quarante de prédication -, mais n'a jamais nommé de successeur. Cette absence d'autorité suprême et l'éparpillement des communautés ont donné leur marque au bouddhisme naissant. Son histoire est faite d'une longue série d'emprunts aux traditions locales - chamanisme ou tantrisme hindou -, de divisions et de schismes. Même si les frontières sont poreuses, le bouddhisme se répartit aujourd'hui en trois écoles principales, correspondant à trois zones d'implantation géographique en Asie.
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3216,36-962978@51-963068,0.html
Thursday, October 4, 2007
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