2-Logra el equilibrio y se deja llevar por sus deseos. Lo conocido resulta seguro pero también lo aleja de las nuevas posibilidades. Un consejo lo acerca a buenas oportunidades.
3-Allô ! Allô ! James ! Quelle nouvelle?
Absente depuis quinze jours,
Au bout du fil je vous appelle.
Que trouverai-je à mon retour?
Tout va très bien,
Madame la Marquise
Tout va très bien, tout va très bien
Pourtant il faut,
Il faut que l'on vous dise,
On déplore un tout petit rien,
Un incident,
Une bêtise,
La mort de votre jument grise.
Mais à part ça ,
Madame la Marquise
Tout va très bien, tout va très bien
Allô ! Allô ! Martin! Quelle nouvelle ?
Ma jument grise morte aujourd'hui?
Expliquez-moii, cocher fidèle
Comment cela s'est-il produit ?
Cela n'est rien,
Madame la Marquise
Cela n'est rien,
Tout va très bien.
Pourtant il faut,
Il faut que l'on vous dise,
On déplore un tout petit rien.
Elle a péri
Dans l'incendie
Qui détruisit vos écuries
Mais à part ça ,
Madame la Marquise
Tout va très bien, tout va très bien
Allô ! Allô ! Pascal! Quelle nouvelle ?
Mes écuries ont donc brûlé ?
Expliquez-moi, mon chef modèle
Comment cela s'est-il passé ?
Cela n'est rien,
Madame la Marquise
Cela n'est rien,
Tout va très bien.
Pourtant il faut,
Il faut que l'on vous dise,
On déplore un tout petit rien.
Si l'écurie brûla, madame
C'est que l'château était en flamme
Mais à part ça ,
Madame la Marquise
Tout va très bien, tout va très bien
Allô ! Allô ! Lucas! Quelle nouvelle ?
Notre château est donc détruit ?
Expliquez-moi, car je chancelle.
Comment cela s'est-il produit ?
Eh bien ! voilà madame la Marquise.
Apprenant qu'il était ruiné,
A pein' fut-il rev'nu de sa surprise
Que m'sieu l'marquis s'est suicidé,
Et c'est en ramassant la pell'
Qu'il renversa tout's les chandell's
Mettant le feu à tout l'château
Qui s'consuma de bas en haut.
Le vent soufflant sur l'incendie
Le propagea sur l'écurie,
Et c'est ainsi qu'en un moment
On vit périr votre jument,
Mais à part ça ,
Madame la Marquise
Tout va très bien, tout va très bien
The passing of Herbert Muschamps
4-Mr. Muschamp’s reviews could also be devastating, and maddening to readers who took exception to his quirky — and, some argued, self-indulgent — voice. “Herbert’s criticism was full of passion — too much for some readers,” said Joseph Lelyveld, the former executive editor of The Times who hired Mr. Muschamp. “But that passion lit up his writing and the world of architecture. One of his great themes was that New York deserved real architecture, for our times — not what developers often try to pass off.”
“The small size of the gas chamber comes as a surprise,” he wrote. “There is nothing to see besides four walls, a floor, a ceiling and the door that leads outside.”
“It is when you cross the threshold of that door that you grasp the reason for visiting Dachau. You walk out into daylight, but part of you does not leave. The doorway divides you. The part that is free to walk through the door feels disembodied, a weightless ghost. You feel lightheaded, as though you have broken the law, as indeed you have. Your passage through that door has violated the design. The room was not meant to be exited alive.”
Unintentionally, the plan embodies the Orwellian condition America’s detractors accuse us of embracing: perpetual war for perpetual peace.”And he fretted that New York had lost much of its creative momentum and would never fully recover.
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